Le Poulpe l'encre et le tatoueur A Roux
Si vous sentez une envie de jeter l'encre sur votre peau , une nouvelle adresse peut répondre à ce besoin. Anthony Roux l'artiste globe-trotter a commencé à se passionner pour le tatouage quand il avait 20 ans au Burkina Faso.
Le nom de son salon, Karavan Tattoo, qu’il a décidé d’ouvrir avec sa femme Marceline, s’inspire de ses expériences multiculturelles. « La caravane ramène des choses d’ailleurs et amène aussi ta propre culture avec. C’est un échange culturel. ». Ils ont donc jeter l'ancre au 2 RUE DES MARTYRS DE VINGRE à SAINT ETIENNE.
Son style de tatouage est très détaillé et ornemental , il s'inspire du travail des Incas et Mayas fait sur la pierre. Mais ne vous inquiétez pas vous ne serez pas sacrifié au sommet d'une pyramide pour attirer la clémence des dieux. https://www.facebook.com/Karavan-Tattoo-908730142544623/?fref=ts
Pour le sociologue David Le Breton, dans les sociétés traditionnelles, les marques corporelles sont comprises par l'ensemble de la communauté, et sont souvent les mêmes pour tous les jeunes d'une classe d'âge et de même sexe. Elles renvoient à une cosmologie, à une vision du monde propre à cette société, elles permettent de s'y fondre. Dans certaines sociétés traditionnelles, notamment africaines ou amérindiennes, les jeunes se marquent mutuellement, lors de fêtes. Dans nos sociétés contemporaines, on a plutôt affaire à des individus qui cherchent à se distinguer mais sont aussi dans la conformité. Car d'autres sont tatoués autour d'eux. (Professeur à l'université de Strasbourg et membre du laboratoire des sociologies européennes, David Le Breton est l'auteur, notamment, de "L'Adieu au corps", "Signes d'identité", "La Peau et la Trace", publiés aux Editions Métailié.)